Le 17 juin, le Qatar a demandé aux navires de GNL d’attendre à l’extérieur du détroit d’Ormuz jusqu’à ce qu’ils soient prêts à charger en raison de l’escalade des tensions dans la région, selon une personne ayant une connaissance directe de la situation. La directive de précaution, qui conseillait aux navires d’éviter d’entrer dans la zone jusqu’à la veille du chargement, ne devrait pas causer de retards, a déclaré la personne, qui a parlé sous couvert d’anonymat. Environ 20 % du commerce mondial de GNL passe par le détroit d’Ormuz, ce qui en fait un point d’étranglement critique pour les navires. Les spéculations selon lesquelles les expéditions de pétrole pourraient être retardées en raison du conflit entre Israël et l’Iran il y a quelques jours ont fait grimper les prix de l’énergie.
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Des sources indiquent que le Qatar exige que les navires de gaz naturel liquéfié attendent à l'extérieur du détroit d'Hormuz pour le chargement.
Le 17 juin, le Qatar a demandé aux navires de GNL d’attendre à l’extérieur du détroit d’Ormuz jusqu’à ce qu’ils soient prêts à charger en raison de l’escalade des tensions dans la région, selon une personne ayant une connaissance directe de la situation. La directive de précaution, qui conseillait aux navires d’éviter d’entrer dans la zone jusqu’à la veille du chargement, ne devrait pas causer de retards, a déclaré la personne, qui a parlé sous couvert d’anonymat. Environ 20 % du commerce mondial de GNL passe par le détroit d’Ormuz, ce qui en fait un point d’étranglement critique pour les navires. Les spéculations selon lesquelles les expéditions de pétrole pourraient être retardées en raison du conflit entre Israël et l’Iran il y a quelques jours ont fait grimper les prix de l’énergie.